Perdre 1 kilo par mois en moyenne durant 9 ans : qu'a fait Romain ?

Auteur Sandra Maribaux
Auteur : Sandra Maribaux, publié le 04/02/2016
Relu par le comité de rédaction

Romain nous explique comment il a réussi à maigrir de 109 kilogrammes en 9 ans, en démarrant les régimes amaigrissants à partir de 22 ans.

Bonjour tout le monde,


> Présentation

Je m'appelle Romain Laville, j'ai 31 ans, je suis né à Annecy (en Haute-Savoie) mais j'ai emménagé à Lyon en Juin 2013. J'ai obtenu deux masters en Informatique ainsi qu'une certification en direction de projet et je travaille actuellement en tant que consultant en gestion électronique de document et assistant chef de projet.

A partir de 5 ans, j'ai fait de la boulimie anxieuse à cause de problèmes relationnels avec mes parents. L'alimentation de mes parents a toujours été très riche et je commençais à me faire à manger seul dès l'âge de 6 ans.

Ces deux facteurs combinés, je mangeais énormément de nourriture grasse (des pizzas au petit-déjeuner, de grosses quantités de poissons panés, frites au four, hamburgers lors des repas, beaucoup de biscuits et bonbons pour grignoter). A l'âge de 6 ans, je pesais 36 kilogrammes (kg), j'ai dépassé le quintal à 13 ans et à 22 ans j'ai atteint mon maximum (environ 190 kg). Je mettais des pantalons taille 66 et des chemises 6XL.

9 ans plus tard, je n'en fais plus que 81 kg soit une perte de 109 kg.


> Mon déclic

Depuis mon enfance, j'ai été voir nombre de nutritionnistes, diététiciennes, endocrinologues pour essayer de suivre un régime mais en vain.

Je me souviens de nombreux régimes inadaptés, trop pauvres en calories pour un enfant en pleine croissance ou bien trop draconiens et provoquant ainsi une frustration impossible à gérer si jeune.

Lors de mon adolescence, il a été question de me faire rejoindre un centre à Chanay (dans l'Ain), mais après une visite du centre, je ne pouvais m'y résoudre à rester, tant les conditions auraient été traumatisantes pour moi.

Lors de la fin de mon adolescence, j'avais abandonné les régimes, je me voilais la face en faisant croire que je m'assumais et en me déculpabilisant en disant que je mangeais en fonction de ma corpulence (3/4 menus McDonald's, 2 pizzas taille "4 personnes"...) sans compter que je me réfugiais un peu dans l'alcool en plus de la nourriture.

Puis lors de mes 22 ans, ma grand-mère est décédée et une de mes cousines qui souffrait de surpoids est arrivée en ayant perdu 7 kilos en 2 semaines grâce au régime soupe au choux. Mon déclic eut lieu à cet instant, au lieu de régimes équilibrés me permettant de perdre entre 500 grammes (g) et 1 kg par mois, j'avais l'opportunité d'un régime dont les résultats allaient se voir bien plus vite.

Peu importe ce que je devais manger, tant que je pouvais avoir des résultats rapides, c'était l'essentiel. J'ai décidé moins d'un mois plus tard de m'y mettre réellement. Ce fût le début de mon long périple jusqu'à aujourd'hui pour perdre du poids et retrouver une vie normale.


> Qu'ai-je fait pour perdre du poids ?

Tout d'abord, je tiens à préciser que je n'ai fait aucune opération chirurgicale pour maigrir (comme la pose d'un anneau, un bypass ou une sleeve). Toute ma perte de poids s'est fait grâce à des régimes.

Néanmoins, je tiens à préciser que je n'ai pas été suivi par un médecin, j'ai adapté chacun des régimes que j'ai réalisés en fonction des connaissances que j'ai pu acquérir ainsi qu'à mon métabolisme et ma façon de gérer les frustrations. Par conséquent, il est évident que tout le monde ne pourras pas s'imposer le même parcours mais peut-être pourra s'en inspirer en partie.

D'avril 2006 à juin 2007 : régime soupe aux choux
Comme je l'ai indiqué, il s'agit du régime que ma cousine avait fait pour perdre 7 kg en deux semaines. Je me suis donc renseigné sur le fonctionnement de ce régime. Normalement il fonctionne en cycle de 7 jours avec un complément à la soupe chaque jour. A l'époque je me suis dit que si je me contentais uniquement de la soupe aux choux, j'allais avoir des résultats encore plus rapides.

Par conséquent, j'ai pris la liberté de l'adapter en me contentant uniquement de la soupe. Au bout d'un mois, je m'autorisais néanmoins un "excès" lors d'un repas par semaine. Je continuais en revanche de boire de grosses quantités de café (avec un nuage de lait) mais en arrêtant le sucre.

Les premières semaines ont été très dures avec de très grosses fatigues. Etant à la base un couche-tard doublé d'un petit dormeur, il était bizarre pour moi de m'endormir vers 21h et dormir entre 8 et 10h. Je faisais très peu d'activité physique à ce moment-là, je m'étais acheté des lests pour poignets et chevilles que je portais du matin au soir ainsi que des haltères pour me muscler chez moi. J'ai fait cela tout l'été.

Au mois de septembre 2006, j'ai continué lorsque j'étais à la fac. A partir du mois de novembre néanmoins, je ressentais davantage de fatigue et de douleurs musculaires. Je commençais à compléter mon régime en mangeant lorsque nécessaire soit un œuf cru soit un peu de semoule pour avoir de l'apport en protéine ou en glucide.

J'ai tenu jusqu'à la fin de l'année scolaire avec beaucoup de difficulté à cause de la frustration que cela engendrait malgré l'excès que je m'autorisais chaque semaine. L'été arrivant, la frustration n'était plus tenable et surtout la soupe aux choux me dégoutait et me donnait des nausées. J'ai donc décidé d'arrêter ce régime et de basculer dans un régime hypocalorique.

A la fin de ce régime, pour la toute première fois, j'ai pu voir apparaitre 150 kg sur une balance. C'est à partir de ce moment-là que mon poids d'origine a été estimé et en fonction de ma perte de taille de vêtements.

De juillet 2007 à janvier 2008 : régime hypocalorique (500 à 600 kcal/jour)
A ce moment-là, j'ai stoppé l'alimentation liquide, je recherchais une sensation de satiété. Je voulais manger une certaine quantité tout en limitant l'apport calorique. J'ai donc banni les féculents et le fromage. En revanche, je faisais la part belle aux légumes.

Par exemple, je mangeais beaucoup d'endives cuites car, bien que je n'appréciais que modérément leur goût amer, l'apport calorique est de 11 kcal pour 100 g. On peut donc dire qu'il y a autant de calories dans 1 kg d'endives que dans un steak haché.

J'essayais de raisonner comme ça pour beaucoup d'aliments. Je mangeais beaucoup de viandes et de poissons également comme le thon en boîte qui est très consistant. Durant cette période, je ne m'autorisais pas de grignotages, j'étais intransigeant avec moi-même.

A la fin de ce régime, j'avais réussi à atteindre 118 kg, et j'étais très content de moi.

De février 2008 à juillet 2009 : grosse reprise de poids
Le régime hypocalorique m'ennuyait malgré tout et j'ai eu des soucis lors de mes études. Je faisais de grosses insomnies. Durant cette période, je ne dormais que 1h voire 2h par nuit et ce n'étais plus compatible avec mon régime. J'ai même dû arrêter mon année en cours pour me concentrer sur ma santé.

Je voulais continuer à faire attention et je pensais le faire mais je reprenais inexorablement du poids. Je mangeais pourtant des salades, je grignotais peu, m'autorisais des excès mais pas plus qu'une fois par semaine. Je ne comprenais pas.

De plus, au mois d'août 2008, j'ai eu une grande désillusion. J'avais rendez-vous avec un chirurgien car selon mon médecin généraliste, il était possible de faire une liposuccion pour m'aide à perdre le reste. Mais il s'est avéré que non.

Mon chirurgien m'a dit qu'il fallait que je perde encore au moins 30 voire 40 kg pour espérer une intervention. N'étant pas du tout préparer à cette conclusion, je l'ai mal vécu et j'ai eu du mal à retrouver la volonté pour continuer mes régimes.

Je suis remonté à 136 kg à la fin de cette période.

De août 2009 à avril 2010 : régime privatif + hypocalorique (500 à 600 kcal/jour)
Avant la reprise de l'année scolaire, j'en ai profité pour retrouver la volonté de commencer un nouveau régime. De tous les régimes précédents, le régime hypocalorique était celui qui me convenait le mieux, je pouvais manger des plats variés possédant une bonne consistance et permettant d'arriver à satiété.

Cependant, j'y ai introduit un aspect privatif : je sautais le repas du midi. Durant la pause de midi, j'en profitais pour travailler mes cours. Je transformais ainsi mes journées en un gros sprint avec un repas en fin de journée qui venait comme une sorte de récompense.

De plus, j'ai bénéficié du Médiator du mois d'août jusqu'au mois de novembre 2009 au moment il a été retiré du marché. Personnellement, il ne m'a apporté que des bénéfices et j'ai été très déçu qu'il soit retiré. J'ai ensuite basculé sous Alli mais je l'ai arrêté au bout de quelques mois à cause des effets secondaires très désagréables.

Du côté de mon régime, je m'en sortais. En revanche, du côté des études, je ressentais beaucoup de pression et très peu de compréhension de la part du corps enseignant qui considérait que je "m'inventais des problèmes". Cette période a été compliquée a gérer car je n'avais pas de soutien. J'ai finalement fait le choix de reprendre une pause durant mes études (à partir du mois de février) pour me consacrer à mon régime.

Néanmoins, en restant à domicile, je n'arrivais pas à sauter le repas et j'ai stagné à 116 kg jusqu'à fin mars puis je suis remonté à 120 kg à cause de trop nombreuses occasions de faire des excès alimentaires lors du mois qui a suivi.

De mai 2010 à janvier 2011 : régime hyper-protéiné Dukan
Un couple d'amis m'a appris l'existence du régime Dukan dont il venait d'acheter le livre. Après une lecture en diagonale pour connaitre les grands principes, quelques astuces, j'ai décidé une nouvelle fois de l'adapter à mon métabolisme et à mes finances.

Je ne mangeais donc que des aliments protéinés : steaks hachés, filet de poisson, thon en boite, saumon fumé, blanc de poulet, jambon (porc et poulet), steaks tartares, cœur de bœuf, foie de génisse, œufs, fromage blanc, son d'avoine.

Mes repas étaient très simples, par exemple : 3 steaks hachés ou bien 5/6 œufs au plat ou un steak tartare le midi et je conservais les blancs pour me les faire en omelette le soir avec du saumon fumé. D'une manière générale, mes repas étaient constitués de 300 g de protéines. Si j'avais envie de me faire davantage plaisir, je ne culpabilisais pas de compléter mes repas avec un œuf supplémentaire ou une ou deux tranches de jambon.

J'ai vu des résultats fulgurants qui m'ont énormément motivé d'autant que j'ai toujours été d'une nature à aimer la viande. J'avais perdu 9 kilogrammes le premier mois sans avoir le sentiment d'avoir fait un régime et le jour de mon 26ème anniversaire, j'étais descendu à 97,8 kilos et j'ai eu l'accord de mon médecin pour prendre rendez-vous avec mon chirurgien pour réaliser mes opérations de chirurgie reconstructrice.

A partir de ce moment-là, je n'ai pas réellement stoppé le régime. Aimant beaucoup la viande, j'alternais régulièrement les repas de façon à me permettre de faire des repas normaux et des excès tout en continuant les repas hyper-protéinés et je suis resté jusqu'au jour de l'opération à 97 kg en février 2011.

De février 2011 à août 2014 :
Depuis cette époque, je suis passé par de nombreuses phases... Les opérations me faisaient perdre un peu de poids mais pas tant que ça.

J'ai été inscrit à la salle de sport près de chez moi et j'y allais environ 4 fois par semaine avec des séances de 2h30 (40 minutes de cardio et 1h50 de musculation). Durant cette phase, mes repas étaient beaucoup plus caloriques, surtout le midi durant lequel je mangeais un repas complet : une entrée, un plat principal, un fromage ou un dessert. Le soir en revanche, je mangeais hyper-protéiné : 3 steaks hachés ou bien un gros bol de fromage blanc avec du son d'avoine par exemple.

J'ai eu 3 opérations en 2011, en février, en juillet et en décembre. Autant dire, que le rythme était très saccadé entre repris du sport et immobilisation totale pour convalescence. Je suis descendu à 88 kg mais je suis remonté à 93 kg avec la musculation.

J'ai également eu des phases de laisser-aller quand j'ai déménagé sur Lyon car je n'allais plus à la salle de sport et mon alimentation n'était plus adaptée. Il m'a fallu du temps pour trouver l'équilibre entre une alimentation qui convient à mon métabolisme et ma dépense énergétique quotidienne moyenne. Par exemple, faisant un travail de bureau, le midi je mange très léger.

De septembre 2014 à aujourd'hui :
La plupart du temps je ne mange que 3 galettes d'épeautre avoine. Ces galettes apportent à la fois glucides, fibres alimentaires et protéines, tout en étant consistantes. Cela peut paraitre faible mais je ne ressens quasiment jamais de fatigue l'après-midi.

Avoir ce type d'alimentation me permet également de pouvoir m'autoriser de temps en temps des repas avec des collègues la semaine et le week-end avec des amis sans pour autant culpabiliser de trop.


> Quelle est l'évolution de ma perte de poids ?

Avril 2006 : 190 kg
Juin 2007 : 150 kg
Janvier 2008 : 118 kg
Juillet 2009 : 136 kg
Avril 2010 : 120 kg
Février 2011 : 97 kg
Décembre 2015 : 81 kg

Evolution du poids de Romain sur les 9 ans de la perte de poids


> Exemple de menu utilisé pendant mon régime

Je les ai décrits plus haut. Mais sinon régulièrement le soir, je me fais mes repas sous forme de wraps. Il y a un côté pratique c'est sûr, mais cela me permet d'avoir un apport en féculent tout en m'assurant qu'il n'est pas aussi important qu'un plat de pâtes par exemple.

L'avantage des wraps, c'est qu'il est la source de nombreuses idées. Il est possible de le manger avec de la viande hachée, du poulet ou bien des steaks hachés mais également avec des crudités. Parmi ce que je préfère, le wraps avec saumon, avocat, tzatzíki (ou concombre à la grecque) et laitue iceberg... Un régal !


> Mes astuces minceur

Je n'ai pas réellement d'astuces. Néanmoins, pour éviter la frustration, il faut essayer de choisir des éléments consistants tout en étant pauvre en calories. Les galettes de riz, sésame, épeautre, son d'avoine... sont très bien car elles sont très consistantes en bouche et dans l'estomac.

Ensuite ce qui est probablement le plus important, c'est de bien choisir son régime, en fonction de son métabolisme, mais également en fonction de sa capacité à gérer la frustration car la première cause d'une reprise de poids après un régime, c'est l'envie de combler les frustrations que nous nous sommes imposées.


> Comment ai-je trouvé de la motivation et du soutien ?

A vrai dire, je n'ai pas eu beaucoup de soutien... Mes parents pensaient continuer à me faire plaisir en me préparant des plats riches... Beaucoup d'amis me félicitaient dans ma démarche mais me répétaient sans cesse qu'un écart de temps en temps, ça ne faisait pas de mal, sauf que ces écarts auraient été trop réguliers (si j'y cédais).

Cependant, plus le temps a passé, plus j'ai appris à rester ferme, à expliquer pourquoi je ne pouvais faire d'excès aussi souvent, comment mes régimes fonctionnaient. Mais avec du recul, je me rends compte qu'il est très difficile pour quelqu'un qui n'a pas ce genre de problème de représenter un soutien sans faille.

Ma source la plus important de motivation, c'était ma détermination à vouloir me voir mince, à ce que les regards dans la rue ne se portent plus sur moi à cause de mon obésité. Comme je le disais, c'était mon combat, ma revanche sur la vie qui ne m'avait fait aucun cadeau à ce niveau. J'avais au fond de moi une colère, une rage, une hargne que j'employais pour mes régimes.

Dans un second temps, la satisfaction d'entendre les remarques, encouragements et félicitations de mon entourage me donnaient l'envie de persévérer et d'aller jusqu'au bout.


> Quelques anecdotes en rapport avec ma perte de poids

J'ai un métabolisme qui me fait grossir très facilement, par conséquent, c'est un combat quotidien pour conserver les fruits de mes efforts. Je me pèse chaque jour pour voir l'évolution et adapter mon alimentation si besoin. De manière générale, je mange très léger le midi au travail et je fais un repas normal le soir. De cette façon, je peux généralement faire un excès le week-end quand je vois mes amis sans culpabiliser.

Il y a toujours des périodes où des évènements se succèdent, comme les fêtes de fin d'année, où les excès s'enchainent. Dans ce genre de situation, j'essaye autant que possible d'anticiper et en prévoyant un petit régime ensuite afin d'éviter de conserver le poids pris durant ces périodes.


> Conclusion

Mon parcours est atypique puisque j'ai suivi plusieurs régimes que j'ai adaptés et sans suivi. Je ne pense pas que mon parcours doit être reproduit tel un modèle, je ne pense pas même qu'il y ait un modèle de régime qui fonctionne à coup sûr.

Chaque régime doit être adapté mais cela n'est pas toujours bien fait. Il est très important de trouver le bon compromis entre la rapidité des résultats, la quantité de poids à perdre et la frustration que l'on est capable de gérer tout en prenant bien en considération la santé et le métabolisme de la personne qui veut perdre du poids.

Pour moi, lorsque l'on a 100 kg à perdre, un régime qui veut nous faire perdre 500 g à 1 kg par mois est bien souvent inutile car on ne peut observer les résultats qu'après trop de temps... C'était l'un des régimes qu'une nutritionniste m'avait proposé...

Néanmoins, peu importe les contraintes de santé ou la quantité de poids à perdre, ce n'est pas impossible. Certes, c'est difficile. Et cette difficulté augmente ou diminue en fonction du moral, autant dire que sur un régime long, on passe par toutes les phases. Mais l'important c'est de toujours garder espoir et savoir se relever même après une rechute. Ce combat en vaut vraiment le coup.

Si vous avez des questions sur mon parcours, n'hésitez pas à me contacter via mon profil facebook.

Remarque :
Vous trouverez d'autres récits avant/après qui vous motiveront à combattre vos kilos en trop ici.


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Photo portrait de l'auteur Sandra Maribaux
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